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Auriculothérapie

 

L’auriculothérapie

est une méthode médicale française mise au point et développée par le docteur Paul Nogier à partir de 1951 suite aux de sciatiques soignées par Mme Barin, guérisseuse à Marseille. Il découvre que le pavillon de l’oreille est semblable à un fœtus inversé.

Son origine remonte à + de 300 ans avant JC puisque c’est Hippocrate, le père fondateur de la médecine, qui a découvert cette méthode. A l’époque, il recommandait la cautérisation de l’oreille pour traiter certaines pathologies.

auriculothérapie point oreille

L’auriculothérapie consiste à stimuler des points de l’oreille à des fins thérapeutiques. Le cerveau est comparable à un ordinateur et l’oreille en est le clavier. Le principe est de stimuler des points précis de l’oreille qui sont reliés à des zones définies du cerveau soit par le système nerveux soit par le système sanguin (à ne pas confondre avec l’acuponcture qui se concentre sur les méridiens et qui est une médecine énergétique).

Il existe 2 types de points : les points sensibles à la pression et les points détectables par la mesure électrique. Les travaux du Dr Paul Nogier et ceux du Dr Jean Niboyet permettront de mettre en place une cartographie de l’oreille validée à la fin des années 80 par le neuroscientifique David Alimi. Puis, en 1990, elle fut standardisée et validée pour plus de 200 points par l’OMS ce qui permettra à l’auriculothérapie d’être reconnue sur le plan international.

Cartographie oreille auriculothérapie nogier

Ses indications sont multiples :

  • Toutes douleurs neurologiques, métaboliques ou traumatiques comme la sciatique, l’arthrose, arthrite, polyarthrite, lombalgies, zonas, migraines, fibromyalgie, luxations, fractures, tendinites, névralgies, douleurs dentaires ou encore post-opératoires…

  • Les problèmes psychiatriques mineurs et émotionnels tels que la dépression, l’anxiété, la nervosité, le stress, les troubles alimentaires, l’agressivité, les troubles du sommeil…

  • Les troubles fonctionnels comme la constipation, les colites, la tension artérielle, les acouphènes, la fatigue, les spasmes, l’urticaire, les psoriasis, l’eczéma, les douleurs menstruelles, les troubles de la ménopause, les troubles sexuels, l’apoplexie…

  • Les addictions pour le tabac, la nicotine, le sucre, l’alcool, les drogues, les anti-douleurs

 

La durée du traitement dépend de la pathologie et de l’ancienneté du symptôme.

Généralement pour les douleurs aigues le soulagement intervient quelques heures voir quelques jours après la première séance et 3 à 4 Séances espacées d’environ 3 semaines sont nécessaires.

Pour les troubles chroniques ou installés le soulagement peu prendre quelques jours et il est généralement nécessaire de faire 1 séance par mois ou tous les 2 mois jusqu’à amélioration.

Pour les addictions 2 séances suffisent avec un accompagnement personnalisé et/ou additionné d’huiles essentielles et fleurs de Bach selon votre profil

Ses contre-indications :

Les femmes enceintes et les enfants de – de 6 ans

Déroulement la séance :

  • Je commence par faire un bilan suivant un questionnaire détaillé et prendre connaissance de vos éléments médicaux si vous en avez.

  • Je procède ensuite à une inspection visuelle du pavillon de votre oreille

  • Puis à détection électrique ou une palpation si vous êtes porteur d’un pacemaker.

  • A partir de ces observations je vais élaborer le protocole à mettre en place et déterminer les points pour effectuer une stimulation fréquentielle à l’aide d’un laser froid

 

Tarifs:

  • Une séance d'une heure : 50€

  • Forfait 3 séances : 145€

  • Forfait 5 séances : 240€

  • Forfait 10 séances : 450€

  • Forfait addiction 210€ pour 2 séances annuelles + 1 accompagnement hebdomadaire le premier mois + complément en huiles essentielles ou fleurs de Bach selon votre profil

 

Les séances ne sont pas des actes médicaux (aucun diagnostic) et ne se substituent en aucun cas à un traitement ou à un suivi médical conformément à la loi du 30 avril 1946, au décret N° 60665 du 4 juillet 1960, aux articles L489 du décret du 8 octobre 1996.

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